Un dédale de sentiers et de pistes nouvellement élargies
Après plusieurs jours d’une pluie bienvenue, les sols ardéchois restaient encore bien humides voir glissants pas endroits, mais après cette longue période d’abstinence, il en fallait plus pour refroidir l’envie des vététistes labeaumois d’aller taquiner la draille caillouteuse. Aujourd’hui, c’est par un matin enveloppé de volutes de brumes que l’équipe partait des hauteurs de Labastide-de-Virac (voir) à l’invitation de Jean-François. Après une première halte sur les belvédères de la Dragonnière de Gaud (voir) au-dessus des Gorges de l’Ardèche
(voir) noyées sous une coiffe d’épais nuages, le peloton partait à l’ascension des terribles côtes du plateau d’Issirac pour retrouver d’abord le dolmen perdu de la Font du Loup (voir) puis l’étonnante dalle de la Grande Lauze (voir) qui fut jadis aménagée en grande réserve d’eau. Par un détour dans les faubourgs du village d’Orgnac (voir) via un dédale de petits sentiers et de pistes nouvellement élargies, le peloton rejoignait l’aven éponyme (voir) avant de filer 900 m plus loin jusqu’à la Baume de Ronze (voir) haut lieu de la préhistoire locale. Il ne fallut plus alors que franchir la crête de la Forestière avant de dévaler les pentes vers Labastide et se retrouver chez Jean-François et Cécile pour un pot de l’amitié très convivial.
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